La Commission Nationale des Droits de l\’Homme (CNDH) a pris part à la 41ème session ordinaire du Comité Africain d\’Experts sur les Droits et le Bien-être de l\’Enfant (CAEDBE) à Maseru au Lesotho. Cette session a permis à Jacqueline Afi Atitso, vice-présidente de la CNDH de participer au nom du Togo, aux travaux qui ont permis d\’aborder diverses questions relatives aux droits de l\’homme sur le continent.
Au Royaume de Lesotho, il était question des débattre de l\’impact de la Covid-19 sur les droits et le bien-être des enfants handicapés, des difficultés des enfants atteints d\’albinisme en Afrique et les mutilations génitales.
Aussi, la session a permis d\’aborder les questions liées aux violences faites aux enfants, à l\’impact du changement climatique sur les enfants en Afrique et la protection des enfants contre l\’usage des drogues.
A la tribune de la session, Mme Atitso, représentante de la CNDH Togo, est revenue sur la mission assignée à la CNDH ainsi que les diverses initiatives qu’elle mène en faveur des droits de l\’Homme au Togo.
Un débat sur la toxicomanie
De plus en plus en vogue dans le monde, la toxicomanie a été aussi débattue à la 41ème session ordinaire du Comité Africain d\’Experts sur les Droits et le Bien-être de l\’Enfant (CAEDBE).
Les travaux ont également permis d’examiner les rapports périodiques de certains Etats ainsi que les rapports alternatifs des OSC.
Notons que le Comité du CADBE est composé de onze (11) membres chargés de surveiller le processus de mise en œuvre de la CADBE sur le continent africain. Et ces membres sont élus par l\’Assemblée des chefs d\’Etat et de gouvernement sur une liste de personnes désignées par les Etats partie à la CADBE.
@gapola